Rapports des principaux instituts de recherche en courtage en Chine afin de minimiser la différence d’information entre les investisseurs individuels et les institutions et de donner aux investisseurs individuels un accès plus rapide aux changements dans les fondamentaux des sociétés cotées.
En triant la structure des dépenses de consommation personnelle américaines de haut en bas, nous concentrons notre analyse sur les biens durables, les biens non durables, les services aux ménages et leurs décompositions, et analysons les perspectives de la consommation américaine au second semestre selon deux dimensions : le degré de dépassement et la sensibilité aux hausses de taux d’intérêt.
Dimension 1 : l’ampleur de la surconsommation de divers postes de dépenses de consommation personnelle aux États-Unis. Les biens durables sont plus dépensés que les biens non durables, les biens de divertissement et les transports, les autres biens durables, les vêtements, les chaussures, les meubles et les équipements ménagers étant les plus dépensés. Si l’on examine les catégories de biens durables, on constate que la surconsommation de biens liés à la maison et au bureau était plus élevée ; l’effet de richesse dû à l’explosion du marché boursier et à la hausse des prix de l’immobilier a entraîné une surconsommation de bijoux et de montres et de certains transports de loisirs pendant l’épidémie.
Dimension 2 : Sensibilité de divers postes de dépenses de consommation personnelle aux États-Unis aux hausses de taux d’intérêt. Que ce soit en réduisant le potentiel de croissance de la consommation ou en réduisant l’espace de consommation, les hausses de taux d’intérêt finiront par provoquer un recul de la demande des consommateurs. Nous élargissons encore le concept d’élasticité en utilisant l’élasticité de la demande par rapport au taux d’intérêt pour décrire la mesure dans laquelle la quantité demandée change en réponse aux variations du taux des fonds fédéraux, reflétant ainsi la sensibilité de la demande de biens aux hausses de taux d’intérêt.
Sur la base de l’ampleur de la hausse des taux d’intérêt et en combinant les résultats des deux dimensions, nous nous attendons à une contraction plus importante de la consommation de biens durables sur la période juin-décembre, en particulier pour trois postes : biens récréatifs et transports, autres biens durables, meubles et équipements ménagers, et cinq segments : téléphones mobiles, ordinateurs et tablettes, logiciels et accessoires, équipements audiovisuels, calculatrices et imprimantes.