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L’IPC recule en glissement annuel, l’IPC de base reste modéré L’IPC baisse en glissement annuel, les prix des produits alimentaires continuent d’augmenter, les prix des produits non alimentaires reculent. La baisse de l’inflation en glissement annuel en août est principalement due aux prix des produits non alimentaires : (1) les prix du pétrole brut sont plus bas, les prix des produits non alimentaires sont principalement affectés par la baisse des prix de l’énergie ; (2) les produits alimentaires, la hausse des prix des produits alimentaires a tendance à ralentir. En août, les prix des légumes, du porc, des céréales et de l’huile, des œufs sont en légère hausse, seuls les prix des fruits sont en baisse. Le prix des légumes a ralenti en août, tandis que le prix du porc est resté sur la tendance à la hausse, mais l’ampleur de la tendance à la hausse s’est affaiblie. Les prix du pétrole brut ont subi un choc à la baisse en août, l’offre graduelle suffisante et l’affaiblissement attendu de la demande faisant que les prix du pétrole brut sont en baisse. L’IPC de base est resté stable en août, la demande finale restant relativement faible.
L’inflation a légèrement fluctué en septembre par rapport à l’année précédente et devrait se situer autour de 2,6 % en glissement annuel. Les prix du porc ont été affectés par des pénuries d’approvisionnement en septembre, tandis que les prix des légumes ont baissé en septembre. En ce qui concerne les prix non alimentaires, les prix des carburants devraient s’ébranler et l’inflation des prix des voyages s’est affaiblie.
L’inflation devrait augmenter lentement tout au long de l’année L’inflation devrait rester gérable tout au long de l’année, avec des niveaux d’inflation s’élevant à environ 2,4 % au second semestre 2022 : (1) des augmentations de prix peuvent être attendues dans la nouvelle période sous l’état de contrôle de l’épidémie, l’impact sur les prix étant encore observé sous les blocages de la logistique et du personnel ; (2) l’offre de porc est insuffisante, les prix du porc augmentant au second semestre avec l’augmentation progressive de la demande de porc ; (3) les prix des légumes ont franchi la barre des 2,5 millions d’euros. point le plus bas et a progressivement rebondi dans la seconde moitié de l’année. On s’attend à ce que l’IPC atteigne environ 2,4 % au cours des trimestres de mars et d’avril et devrait se situer autour de 2,2 % pour l’année. Le niveau d’inflation devrait augmenter de manière inertielle pour atteindre environ 2,9 % au cours du premier semestre de 2023.
L’inflation reste sereine Malgré des niveaux d’inflation plus élevés au second semestre, il n’y a toujours pas lieu de s’inquiéter pour l’instant : (1) une récession mondiale est en cours, avec des changements dans les prix élevés du pétrole brut, qui devraient continuer à baisser au second semestre ; (2) une baisse de la demande mondiale et une faible demande chinoise sont susceptibles de résonner, avec une demande finale plus faible tirant les niveaux de prix vers le bas.
La politique monétaire n’est pas perturbée par les choix monétaires de la banque centrale ne danseront pas avec l’inflation, la vision globale de l’inflation en Chine appartient au niveau bas, de son propre point de vue, la faible demande a conduit à une faible inflation de base, la banque centrale n’est pas inquiète de l’inflation. Le problème auquel la banque centrale est confrontée à ce stade est que le canal du crédit au sens large est bloqué et que l’effet de l’assouplissement monétaire par la banque centrale est moins important que prévu.
L’IPP est revenu à la tendance en août L’IPP a fortement baissé dans l’anneau, les prix des produits de base sont dans un état de recul : (1) le pétrole brut international par l’offre de la stabilité ainsi que la demande de retour vers le bas, les prix continuent de baisser ; (2) les prix à terme du charbon sont légèrement stables, mais les prix d’usine ont fortement diminué. Les investissements en aval sont restés faibles, avec une demande relativement faible de la part des industries de l’acier, du ciment et d’autres industries ; (3) la demande en aval a été faible et les prix des produits connexes au départ de l’usine ont tous baissé.
Le niveau de base de l’IPP continue de baisser au second semestre de l’année, l’IPP en glissement annuel continue de baisser : (1) le niveau élevé des prix de l’énergie va entraîner l’IPP à la baisse ; (2) les démarrages en aval, bien que légèrement améliorés, mais à un rythme plus lent, le prix des produits noirs est toujours atone ; (3) le blocage logistique s’est amélioré, reflétant l’essentiel du transport de marchandises basé sur le BDI à la baisse, laissant présager l’avenir de l’anneau de l’IPP toujours à la baisse. L’IPP devrait fluctuer légèrement en septembre, le niveau de l’IPP en septembre étant d’environ 1,1 %. L’IPP 2022 devrait être élevé avant et faible après, et devrait être d’environ 4,6 % pour l’année, influencé par la base, l’IPP étant d’environ 2,6 % et 0,4 % aux 3e et 4e trimestres respectivement.