Au troisième trimestre 2022, le PIB de la Chine a progressé de 3,9 % en glissement annuel, soit 3,5 points de pourcentage de plus qu’au deuxième trimestre et mieux que les 3,4 % attendus ; le PIB a augmenté de 3,9 % en glissement annuel au troisième trimestre, contre -2,7 % précédemment. Au cours des trois premiers trimestres, le PIB de la Chine a enregistré une croissance cumulée de 3,0 % en glissement annuel, soit 0,5 point de pourcentage de plus qu’au cours du premier semestre de l’année. La valeur ajoutée industrielle en septembre a augmenté de 6,3 % en glissement annuel, contre 4,2 % précédemment et 4,5 % attendu ; la croissance en glissement annuel a atteint 0,84 %. En septembre, le total des ventes au détail de biens de consommation a augmenté de 2,5% en glissement annuel, contre 5,4% précédemment et 3,3% attendu. De janvier à septembre, l’investissement national en actifs fixes a augmenté de 5,9 % en glissement annuel, contre 5,8 % précédemment et 6 % attendus. Par domaine, les investissements dans l’industrie manufacturière ont augmenté de 10,1 % en glissement annuel, soit 0,1 point de pourcentage de plus qu’en janvier-août, les investissements dans les infrastructures ont augmenté de 8,6 % en glissement annuel, soit 0,3 point de pourcentage de plus qu’en janvier-août, ce qui représente une reprise pour cinq mois consécutifs ; les investissements dans l’immobilier ont augmenté de -8 %, continuant de baisser de 0,1 point de pourcentage par rapport à la valeur précédente. Du côté de l’offre, la production industrielle s’est redressée régulièrement en septembre, le chiffre de base bas coïncidant avec l’impact contrôlé de l’épidémie de septembre sur la reprise de la production, cette dernière reprenant à un rythme relativement plus élevé que prévu. L’activité principale de la société consiste à fournir une large gamme de produits et de services sur le marché. Le rebond de l’épidémie depuis juillet a eu un impact accru sur la consommation, et l’amélioration du taux de croissance du zéro social total en août a été principalement soutenue par une base faible à la même période l’année dernière, ce qui a encore accru la pression sur la croissance de la consommation en septembre. L’indice PMl non manufacturier a chuté de 2 points de pourcentage par rapport à sa valeur précédente pour atteindre 50,6 %, son frein provenant principalement de la forte baisse de 3 points de pourcentage de l’indice d’essor du secteur des services, indiquant également une baisse de la croissance de la consommation.