Principaux points à retenir
Principaux points de vue : 1) Bien que l’épidémie ait toujours eu une tendance à la distribution multipoints et à la propagation en pointillés au troisième trimestre, l’industrie de la consommation a été résiliente et a montré une croissance réparatrice, avec une amélioration des revenus et des bénéfices ; 2) Les bénéfices de All-A se sont stabilisés au troisième trimestre 2022, avec des revenus d’un seul trimestre en hausse par rapport à l’année précédente ; 3) La situation de compression des bénéfices dans les industries de ressources en amont s’est améliorée, et la situation des bénéfices dans les industries intermédiaires et en aval a commencé à se stabiliser ; 4) Le troisième trimestre 2022… Bien que le boom de l’industrie énergétique se soit affaibli, la valeur absolue reste à un niveau élevé, et certaines industries intermédiaires et en aval se sont améliorées.
Le revenu trimestriel unique de toutes les actions A au 22T3 s’est amélioré par rapport au 22T2, et le revenu cumulé n’a pas connu de baisse significative. Au cours des trois premiers trimestres, le taux de croissance du revenu cumulé de toutes les actions A a été de 8,0 % en glissement annuel, celui de toutes les actions A (à l’exception de la finance) a été de 9,6 %, en baisse de 0,4 % et de 0,3 % respectivement par rapport aux deux premiers trimestres de 2022. Au troisième trimestre de 2022, la politique de prévention des épidémies a commencé à être flexible, et bien que l’épidémie ait eu tendance à se propager dans de nombreux endroits, elle n’a pas eu la longue durée et les mesures de fermeture de domaine à grande échelle du deuxième trimestre. La reprise de la production a continué à progresser, et les recettes se sont stabilisées et améliorées au troisième trimestre.
Le taux de croissance du bénéfice net attribuable à l’ensemble des actions A a légèrement baissé au troisième trimestre 2022. Le bénéfice net cumulé attribuable à l’ensemble des actions A a augmenté à un taux annuel de 2,6 % au cours des trois premiers trimestres 2022, et de 3,1 % pour l’ensemble des actions A (à l’exception de la finance), en baisse de 0,7 % et de 1,5 % respectivement par rapport aux deux premiers trimestres 2022. Les changements au niveau d’un seul trimestre reflètent mieux l’état de la croissance des bénéfices : à partir du taux de croissance du bénéfice net attribuable d’un seul trimestre, toutes les actions A et toutes les actions A (à l’exception des financières) ont eu un taux de croissance du bénéfice net attribuable d’un seul trimestre de 0,8 % et -0,6 % en glissement annuel au 22T2, en baisse de 1,1 % et 0,5 % respectivement par rapport au 22T2. Dans l’ensemble, le taux de croissance du bénéfice net de l’action A attribuable à la mère au troisième trimestre n’a pas connu d’amélioration par rapport au deuxième trimestre, affichant une légère tendance à la baisse.
Le ROE (TTM) de toutes les actions A a légèrement baissé au troisième trimestre par rapport au deuxième trimestre. Au troisième trimestre 2022, le ROE (TTM) de l’ensemble des actions A était de 9,0 % et celui de l’ensemble des actions A (hors financières) de 8,5 %, soit respectivement 0,1 % et 0,1 % de moins qu’au deuxième trimestre 2022, ce qui montre une légère baisse. Le modeste déclin du ROE provient de la baisse de la marge des ventes nettes et du ratio d’endettement, comme le montre la ventilation de l’analyse de Dupont. Bien que la banque centrale a réduit les taux d’intérêt et les quotas à nouveau dans le troisième trimestre au-delà des attentes, mais des trois rapports trimestriels, en raison de l’aspect économique du troisième trimestre n’a pas vu une amélioration significative, les opérations commerciales sur le côté prudent, le tout A ratio d’endettement a diminué à nouveau, en tenant compte de la conduction de l’argent large a besoin de temps, le quatrième trimestre politique effet de retard de l’impact dans le niveau des données devrait se stabiliser progressivement, le tout A (sauf financiers) ratio d’endettement Q4 à nouveau un plongeon significatif est moins probable.
La situation de compression des bénéfices en amont s’est améliorée, l’industrie de la consommation a continué à se redresser. L’industrie de l’énergie en amont a vu son essor s’affaiblir au troisième trimestre ; la rentabilité de l’industrie des matériaux en milieu de chaîne a continué à baisser ; le segment de l’équipement électrique des batteries et de l’énergie photovoltaïque est toujours en plein essor ; l’amélioration des revenus du segment des batteries, l’amélioration de la capacité de l’activité photovoltaïque ; le secteur de la consommation obligatoire rebondit ; l’agriculture, la sylviculture, l’élevage et la pêche, les services sociaux enregistrent des résultats brillants ; l’industrie automobile rebondit. Dans le secteur financier, les bénéfices de l’industrie immobilière n’ont pas connu d’amélioration, et l’industrie immobilière est toujours dans le canal de la baisse ; dans le secteur TMT, les bénéfices des industries de l’électronique, de l’informatique et des médias continuent d’être dans le canal de la baisse, tandis que le taux de croissance des bénéfices de l’industrie des communications est relativement bon en glissement annuel. Au quatrième trimestre, nous pouvons nous concentrer sur les industries intermédiaires et en aval qui ont vu les pressions sur les coûts s’atténuer, comme l’alimentation et les boissons, l’automobile et les dispositifs médicaux ; les industries stratégiques liées à la sécurité mentionnées lors du 20e Congrès national, comme l’industrie de la défense et l’industrie des semi-conducteurs, et l’industrie photovoltaïque liée à la stratégie à faible émission de carbone.
Risques : l’épidémie dépasse les attentes, la baisse de l’immobilier dépasse les attentes, la hausse des taux d’intérêt à l’étranger dépasse les attentes, la situation géopolitique dépasse les attentes.