Événements : la valeur ajoutée des industries au-dessus de l’échelle en octobre a augmenté de 5,0 % en glissement annuel en termes réels, le taux de croissance ayant baissé de 1,3 point de pourcentage par rapport au mois précédent ; le total des ventes au détail de biens de consommation en octobre a diminué de 0,5 % en glissement annuel, le taux de croissance ayant baissé de 3,0 points de pourcentage par rapport au mois précédent ; l’investissement national en actifs fixes de janvier à octobre a augmenté de 5,8 % en glissement annuel, le taux de croissance ayant baissé de 0,1 point de pourcentage par rapport à la valeur précédente.
Vue de base.
Dans l’ensemble, principalement en raison du réchauffement de l’épidémie, les données macroéconomiques ont généralement baissé en octobre, la pression à la baisse sur l’économie s’accentuant au début du quatrième trimestre. Le taux de croissance de la valeur ajoutée industrielle a ralenti en octobre, principalement en raison du rebond de l’épidémie, mais le niveau de croissance de 5,0 % pour le mois reflète toujours la forte résilience de la production industrielle par rapport à la demande. Le zéro social est devenu négatif en octobre, principalement en raison du rebond de l’épidémie en Chine et de l’escalade subséquente de la prévention et du contrôle de l’épidémie, ce qui reflète progressivement l’impact négatif sur la consommation. Sur le front de l’investissement, l’investissement dans les infrastructures (de large calibre) a continué de croître à un taux élevé à deux chiffres en octobre, compensant efficacement le déclin de l’investissement immobilier et permettant à la croissance globale de l’investissement de rester plus résiliente, renforçant ainsi son rôle dans la stabilisation de l’économie.
En ce qui concerne l’avenir, la récente optimisation de la prévention de l’épidémie et le contrôle de l’introduction de 20, l’intensité de l’impact du cycle actuel de l’épidémie sur la macro-économie sera sensiblement inférieure à celle du deuxième trimestre, à l’appui financier pour l’immobilier 16 comme un signe de la stabilisation ultérieure des politiques de croissance sont également attendus pour augmenter encore le code. Parmi eux, dans les deux considérations internes et externes, la politique monétaire sera principalement par des outils structurels force ciblée, la mise en œuvre à court terme des réductions des taux d’intérêt et des ajustements à la baisse est peu probable, tandis que la politique budgétaire va devenir le point de force principale pour stabiliser l’économie avant la fin de l’année, y compris les réductions d’impôts et de frais, l’augmentation de la consommation des efforts de promotion dans l’espace est plus grand.