Système de contrôle interne (révisé en mars 2022)

Quakesafe Technologies Co.Ltd(300767)

Système de contrôle interne

(révisé en mars 2022)

Chapitre I DISPOSITIONS GÉNÉRALES

Article premier afin de normaliser et de renforcer le contrôle interne de Quakesafe Technologies Co.Ltd(300767) Ce système est formulé dans les lignes directrices sur l’autoréglementation des sociétés cotées à la Bourse de Shenzhen no 2 – fonctionnement normalisé des sociétés cotées au GEM et d’autres lois et règlements, règlements administratifs et règlements ministériels, ainsi que dans les règles pertinentes de la bourse pour la cotation des actions de la société et dans les statuts de Quakesafe Technologies Co.Ltd(300767)

Article 2 le contrôle interne mentionné dans le présent système est un processus mis en oeuvre par le Conseil d’administration, le Conseil des autorités de surveillance, la direction et tous les employés de la société afin d’atteindre l’objectif de contrôle.

Article 3 les objectifs du contrôle interne de la société sont les suivants:

Assurer la mise en œuvre des lois, règlements et règles internes pertinents de l’État;

Améliorer l’efficacité et l’efficience opérationnelles de l’entreprise, améliorer la qualité de l’entreprise et accroître le rendement pour les actionnaires de l’entreprise; Assurer la sécurité et l’intégrité des actifs de la société;

Assurer l’authenticité, l’exactitude, l’exhaustivité, l’actualité et l’équité de la divulgation de l’information de la société;

Prévenir les risques opérationnels et éthiques.

Article 4 la société établit et améliore le système de contrôle interne (ci – après dénommé « système de contrôle interne») conformément aux lois et règlements, aux règles départementales et aux règles d’inscription au GEM, afin d’assurer l’intégrité, la rationalité et l’efficacité de la mise en oeuvre du système de contrôle interne, d’améliorer L’efficacité et l’efficience des opérations de la société, d’accroître la fiabilité de la divulgation de l’information de la société et d’assurer la légalité et la conformité des actes de la société.

La société établit et met en œuvre un système de contrôle interne conformément aux principes suivants:

Principe d’exhaustivité. Le contrôle interne s’applique à l’ensemble du processus de prise de décisions, d’exécution et de surveillance et couvre toutes sortes d’activités et de questions de l’entreprise et de ses unités affiliées.

Principe d’importance. Contrôle interne fondé sur un contrôle global, axé sur les questions opérationnelles importantes et les domaines à haut risque.

Principe de l’équilibre des pouvoirs. Le contrôle interne se limite et se supervise mutuellement en ce qui concerne la structure de gouvernance, la structure organisationnelle, la répartition des pouvoirs et des responsabilités, les processus opérationnels, etc., tout en tenant compte de l’efficacité opérationnelle.

Principe d’adaptabilité. Le contrôle interne s’adapte à l’échelle de l’entreprise, au champ d’activité, à la situation concurrentielle et au niveau de risque, et il est ajusté en temps opportun en fonction de l’évolution de la situation.

Principe du rapport coût – efficacité. Contrôle interne Évaluer les coûts de mise en oeuvre par rapport aux avantages prévus afin d’assurer un contrôle efficace à un coût approprié.

Le Conseil d’administration de la société est responsable de la formulation, de la mise en œuvre effective, de l’inspection et de la supervision du système de contrôle interne de la société.

Article 5 la société établit et met en œuvre un contrôle interne efficace, y compris les éléments de base suivants:

Environnement interne: divers facteurs globaux qui influent sur la formulation, le fonctionnement et l’effet du système de contrôle interne de l’entreprise, y compris la structure organisationnelle de l’entreprise, la culture d’entreprise, l’idée de risque, le style d’exploitation et les politiques de gestion des ressources humaines, etc. Établissement des objectifs: la direction de l’entreprise fixe les objectifs stratégiques de l’entreprise en fonction de l’appétit de risque et les décompose et les met en œuvre à différents niveaux au sein de l’entreprise.

Identification des événements: la direction de l’entreprise identifie les événements internes et externes qui ont une incidence sur la réalisation des objectifs de l’entreprise et distingue les risques et les possibilités.

Évaluation des risques: la direction de l’entreprise Analyse les risques internes et externes qui ont une incidence sur la réalisation de ses objectifs, en tenant compte de leur probabilité et de leur degré d’influence, afin que l’entreprise puisse formuler les contre – mesures nécessaires.

Contre – mesures contre les risques: la direction de l’entreprise prend des mesures pour éviter, réduire, partager ou accepter les risques en fonction de l’appétit de risque et de la tolérance au risque de l’entreprise, et formule les mesures de contrôle des risques correspondantes.

Activités de contrôle: les mesures et procédures prises par la direction de l’entreprise pour assurer la mise en œuvre et la mise en œuvre efficaces des contre – mesures aux risques comprennent principalement l’approbation, l’autorisation, la vérification, la coordination, l’examen, l’inventaire périodique, la vérification des dossiers, la protection des biens, La séparation des responsabilités et l’évaluation du rendement.

Information et communication: il s’agit d’identifier et de recueillir des informations pertinentes de l’intérieur et de l’extérieur de l’entreprise et de les transmettre efficacement au personnel concerné en temps opportun.

Inspection et supervision: désigne le processus de supervision et d’évaluation de l’efficacité du contrôle interne de l’entreprise au moyen d’activités de supervision continues, d’une supervision et d’une évaluation spéciales ou d’une combinaison des deux.

Article 6 les activités de contrôle interne de la société couvrent tous les liens opérationnels de la société, y compris, sans s’y limiter, les politiques et procédures de contrôle des ventes et des recouvrements, des achats, des dépenses et des paiements, de la gestion des immobilisations, de la gestion des stocks, de la gestion des Fonds (y compris la gestion du financement des investissements), des rapports financiers, de la gestion de la divulgation de l’information, de la gestion des ressources humaines, de la gestion des systèmes d’information et des opérations connexes.

Article 7 le système de contrôle interne de la société couvre non seulement le contrôle de tous les aspects des activités commerciales, mais aussi tous les systèmes de gestion qui s’appliquent à tous les aspects des activités commerciales, y compris, sans s’y limiter, la gestion de l’utilisation des scellements, la gestion de la collecte des factures, la gestion budgétaire, la gestion des actifs, la gestion de la qualité, la gestion des garanties, la gestion des prêts et des prêts de fonds, le système d’autorisation et d’agent, la gestion de la divulgation de l’information, Gestion de la sécurité des systèmes d’information et système de gestion des filiales, etc.

Chapitre II environnement interne

Article 8 la société continue d’améliorer sa structure de gouvernance, d’assurer le fonctionnement légal et la prise de décisions scientifiques du Conseil d’administration, du Conseil des autorités de surveillance et de l’Assemblée générale des actionnaires, d’établir un mécanisme efficace d’incitation et de restriction, d’établir une sensibilisation à la prévention des risques, de cultiver un bon esprit d’entreprise et une culture de contrôle interne et de créer un environnement dans lequel tous les employés comprennent et s’acquittent pleinement de leurs fonctions.

Article 9 le Conseil d’administration est responsable de l’établissement, de l’amélioration et de la mise en oeuvre efficace du contrôle interne. Le Conseil des autorités de surveillance supervise l’établissement et la mise en œuvre du contrôle interne par le Conseil d’administration. La direction est responsable du fonctionnement quotidien du contrôle interne de l’entreprise.

Article 10 la société crée un Comité d’audit sous l’égide du Conseil d’administration. Le Comité d’audit est chargé d’examiner le contrôle interne de l’entreprise, de superviser la mise en œuvre effective du contrôle interne et l’auto – évaluation du contrôle interne, de coordonner l’audit du contrôle interne et d’autres questions connexes, etc.

Le chef du Comité d’audit doit être indépendant, professionnel et compétent. Article 11 la société établit un manuel de gestion interne afin de permettre à tous les employés de maîtriser la structure interne, les responsabilités professionnelles, les processus opérationnels, etc., de clarifier la répartition des pouvoirs et des responsabilités et d’exercer correctement leurs pouvoirs.

Article 12 la société renforce l’audit interne et garantit l’indépendance de la mise en place, de l’affectation du personnel et du travail des institutions d’audit interne.

Le Service d’audit interne supervise et vérifie l’efficacité du contrôle interne en combinaison avec l’audit interne. Les services d’audit interne rendent compte des défauts de contrôle interne constatés au cours de la surveillance et de l’inspection conformément aux procédures d’audit interne de l’entreprise; Il a le droit de signaler directement au Conseil d’administration, à son Comité d’audit et au Conseil des autorités de surveillance les lacunes importantes constatées dans le contrôle interne au cours de la surveillance et de l’inspection.

Article 13 l’entreprise élabore et met en oeuvre des politiques en matière de ressources humaines propices au développement durable de l’entreprise. La politique en matière de ressources humaines comprend les éléments suivants:

La cessation et la dissolution de l’emploi, de la formation et des relations de travail des employés;

La rémunération, l’évaluation, la promotion, les récompenses et les sanctions des employés;

Système de congés obligatoires et système de rotation périodique des postes pour les employés occupant des postes clés;

Les dispositions restrictives relatives à la cessation de service des employés qui détiennent des secrets d’État ou des secrets commerciaux importants;

Autres politiques relatives à la gestion des ressources humaines.

Article 14 l’entreprise considère l’éthique professionnelle et les compétences professionnelles comme des normes importantes pour la sélection et l’emploi du personnel, renforce la formation et la formation continue du personnel et améliore constamment la qualité du personnel.

Article 15 l’entreprise doit renforcer la construction culturelle, cultiver des valeurs positives et un sens de la responsabilité sociale, promouvoir l’honnêteté et la confiance, l’amour du travail, l’innovation et l’esprit d’équipe, établir un concept de gestion moderne et renforcer la sensibilisation aux risques.

Les administrateurs, les autorités de surveillance et les autres cadres supérieurs jouent un rôle de premier plan dans la construction culturelle de l’entreprise. Les employés de l’entreprise se conforment au Code de conduite des employés et s’acquittent consciencieusement de leurs fonctions.

Article 16 la société renforce l’éducation juridique, renforce le concept juridique des administrateurs, des autorités de surveillance, des autres cadres supérieurs et des employés, prend des décisions, agit conformément à la loi et exerce un contrôle strict conformément à la loi, établit et améliore le système de conseil juridique et le système de dépôt des litiges juridiques majeurs.

Chapitre III Évaluation des risques

Article 17 la société recueille des informations pertinentes de manière globale, systématique et continue en fonction des objectifs de contrôle fixés et procède à une évaluation des risques en temps voulu en fonction de la situation réelle.

Lors de l’évaluation des risques, la société doit identifier avec précision les risques internes et externes liés à la réalisation des objectifs de contrôle et déterminer la tolérance aux risques correspondante.

Article 18 la société identifie les risques internes et met l’accent sur les facteurs suivants:

L’intégrité professionnelle des administrateurs, des superviseurs et d’autres cadres supérieurs, les compétences professionnelles des employés et d’autres facteurs liés aux ressources humaines;

Organisation, mode de fonctionnement, gestion des actifs, processus opérationnels et autres facteurs de gestion;

Iii) Facteurs d’innovation indépendants tels que la recherche – développement, l’apport technologique et l’utilisation des technologies de l’information;

La situation financière, les résultats d’exploitation, les flux de trésorerie et d’autres facteurs financiers;

Les facteurs de sécurité et de protection de l’environnement tels que la sécurité opérationnelle, la santé du personnel et la protection de l’environnement;

Autres facteurs de risque internes pertinents.

Article 19 la société identifie les risques externes et met l’accent sur les facteurs suivants:

La situation économique, la politique industrielle, l’environnement financier, la concurrence sur le marché, l’approvisionnement en ressources et d’autres facteurs économiques; Les lois, règlements, exigences réglementaires et autres facteurs juridiques;

Les facteurs sociaux tels que la sécurité et la stabilité, les traditions culturelles, le crédit social, le niveau d’éducation et le comportement des consommateurs; Iv) Progrès technique, amélioration des procédés et autres facteurs scientifiques et techniques;

Les catastrophes naturelles, les conditions environnementales et d’autres facteurs environnementaux naturels;

Autres facteurs de risque externes pertinents.

Article 20 la société analyse et classe les risques identifiés en fonction de la probabilité d’occurrence et du degré d’influence des risques, en combinant des méthodes qualitatives et quantitatives, afin de déterminer les risques à contrôler en priorité. Pour effectuer l’analyse des risques, l’entreprise doit recruter suffisamment de professionnels pour constituer une équipe d’analyse des risques et effectuer les travaux conformément à des procédures strictes et normalisées afin d’assurer l’exactitude des résultats de l’analyse des risques.

Article 21 sur la base des résultats de l’analyse des risques et de la tolérance au risque, la société évalue les risques et les avantages et détermine les stratégies de gestion des risques.

La société doit analyser raisonnablement et maîtriser avec précision l’appétit de risque des administrateurs, des autres cadres supérieurs et des employés occupant des postes clés et prendre les mesures de contrôle appropriées afin d’éviter des pertes importantes pour l’exploitation de la société en raison de l’appétit de risque personnel. Article 22 la société applique de manière globale des stratégies de gestion des risques telles que l’évitement des risques, la réduction des risques, le partage des risques et la tolérance aux risques afin d’assurer un contrôle efficace des risques.

Article 23 la société recueille en permanence des informations sur les changements de risque, identifie et analyse les risques et adapte en temps voulu les stratégies de réponse aux risques en fonction des différents stades de développement et des conditions de développement des entreprises.

Chapitre IV Activités de contrôle

Article 24 en combinaison avec les résultats de l’évaluation des risques, la société contrôle les risques à un niveau acceptable en combinant le contrôle manuel et le contrôle automatique, le contrôle préventif et le contrôle de découverte et en utilisant les mesures de contrôle correspondantes.

Les mesures de contrôle comprennent généralement le contrôle de la séparation des emplois incompatibles, le contrôle de l’approbation de l’autorisation, le contrôle du système comptable, le contrôle de la protection des biens, le contrôle de l’analyse opérationnelle et le contrôle de l’évaluation du rendement, etc.

Article 25 le contrôle de la séparation des emplois incompatibles exige une analyse et un tri complets et systématiques des emplois incompatibles impliqués dans les processus opérationnels, la mise en oeuvre des mesures de séparation correspondantes et la formation d’un mécanisme de travail dans lequel chaque employé exerce ses fonctions, assume ses responsabilités et se limite mutuellement.

Article 26 le contrôle de l’approbation de l’autorisation exige que l’étendue de l’autorité, les procédures d’approbation et les responsabilités correspondantes de chaque poste pour le traitement des affaires et des questions soient précisées conformément aux dispositions de l’autorisation conventionnelle et de l’autorisation spéciale.

Préparer des lignes directrices sur l’autorisation de routine, normaliser la portée, l’autorité, la procédure et la responsabilité de l’autorisation spéciale et contrôler strictement l’autorisation spéciale.

L’autorisation conventionnelle fait référence à l’autorisation de la société dans le cadre des activités quotidiennes d’exploitation et de gestion conformément aux responsabilités et procédures établies.

L’autorisation spéciale fait référence à l’autorisation accordée par la société dans des circonstances et des conditions particulières. Les gestionnaires à tous les niveaux exercent leurs pouvoirs et assument leurs responsabilités dans le cadre de leurs pouvoirs délégués.

Pour les grandes entreprises et les grandes questions, un système d’examen et d’approbation des décisions collectives ou de signature conjointe est mis en place. Aucune personne ne peut prendre de décisions ou modifier les décisions collectives sans autorisation.

Article 27 le contrôle du système comptable exige l’application stricte des normes comptables unifiées de l’État, le renforcement des travaux de base comptable, la clarification des procédures de traitement des pièces comptables, des livres comptables et des rapports financiers et comptables, afin d’assurer l’authenticité et l’intégrité des données comptables.

Article 28 le contrôle de la protection des biens exige la mise en place d’un système de gestion quotidienne des biens et d’un système d’inventaire régulier, ainsi que l’adoption de mesures telles que l’enregistrement des biens, la conservation des biens matériels, l’inventaire périodique et la vérification des comptes afin d’assurer la sécurité des biens. L’accès du personnel non autorisé et la disposition des biens sont strictement limités.

Article 29 un système d’analyse des conditions d’exploitation est mis en place. La Direction procède régulièrement à une analyse des conditions d’exploitation au moyen d’une analyse factorielle, d’une analyse comparative, d’une analyse des tendances et d’autres méthodes, en utilisant de manière exhaustive des informations sur la production, l’achat et la vente, l’investissement, le financement et les finances, afin de découvrir les problèmes existants, d’en identifier les causes et de les améliorer en temps voulu.

Article 30 le contrôle de l’évaluation du rendement exige la mise en place et la mise en oeuvre d’un système d’évaluation du rendement parfait, la mise en place scientifique d’un système d’index d’évaluation, l’évaluation régulière et objective du rendement de chaque Unit é responsable et de tous les employés, et l’utilisation des résultats de l’évaluation comme base pour déterminer la rémunération des employés et la promotion, l’évaluation de l’excellence, la rétrogradation, le transfert de poste et le licenciement.

Article 31 conformément à l’objectif du contrôle interne et à la stratégie de gestion des risques, les mesures de contrôle sont appliquées de manière globale pour exercer un contrôle efficace sur diverses activités et questions.

Article 32 mettre en place un mécanisme d’alerte rapide aux risques majeurs et un mécanisme de traitement d’urgence en cas d’urgence, clarifier les normes d’alerte rapide aux risques, élaborer des plans d’urgence, préciser le personnel responsable et normaliser les procédures d’élimination en cas de risque majeur ou d’urgence possible, afin de s’assurer que les urgences sont traitées en temps opportun et de manière appropriée.

Chapitre V contrôle interne des risques spéciaux

Section I Contrôle de la gestion des filiales contrôlantes

Trente – troisième

- Advertisment -