Inner Mongolia Tianshou Technology&Development Co.Ltd(000611) : système de lutte contre la fraude

Inner Mongolia Tianshou Technology&Development Co.Ltd(000611)

Système de lutte contre la fraude

(approuvé par le Conseil d’administration le 22 mars 2022)

Chapitre I DISPOSITIONS GÉNÉRALES

Article premier afin de prévenir la corruption et la fraude, de renforcer la gouvernance et le contrôle interne de Inner Mongolia Tianshou Technology&Development Co.Ltd(000611) Ce système est formulé conformément aux règlements et aux dispositions pertinentes des Statuts de la société Inner Mongolia Tianshou Technology&Development Co.Ltd(000611) (ci – après dénommés « Statuts»).

Article 2 le système définit principalement l’objectif de la lutte contre la fraude, le concept et la forme de la fraude, l’attribution de la responsabilité en matière de lutte contre la fraude, la prévention et le contrôle de la fraude, le signalement, l’enquête et le rapport des cas de fraude, l’Organisation et la fonction permanentes de la lutte contre la fraude, l’orientation et la supervision de la lutte contre la fraude, ainsi que les mesures correctives et les sanctions en cas de fraude. Article 3 Le présent système s’applique à la société, à ses filiales à part entière, à ses filiales contrôlantes et aux sociétés ayant le droit de contrôle dans le cadre des états financiers consolidés.

Article 4 l’objectif de la lutte contre la fraude est de normaliser le comportement professionnel des administrateurs, des superviseurs, des cadres supérieurs et intermédiaires et des employés ordinaires de l’entreprise, d’exhorter les personnes susmentionnées à se conformer strictement aux lois et règlements pertinents, aux normes industrielles, à l’éthique professionnelle et aux règles et règlements de L’entreprise, d’établir une bonne atmosphère d’honnêteté, de diligence et de respect de l’entreprise et d’empêcher que des actes préjudiciables aux intérêts de l’entreprise et des actionnaires ne se produisent.

Chapitre II le concept et les formes de fraude

Article 5 le terme « fraude» employé dans le présent système désigne le comportement du personnel interne ou externe de l’entreprise qui, par des moyens illégaux et illégaux tels que la tromperie, cherche à obtenir des intérêts personnels inappropriés, porte atteinte aux intérêts économiques légitimes de l’entreprise, ou cherche à obtenir des intérêts économiques inappropriés de l’entreprise, tout en pouvant apporter des intérêts inappropriés à l’individu ou à d’autres personnes.

Article 6 la fraude portant atteinte aux intérêts économiques légitimes de la société fait référence à des actes illégaux commis par des personnes à l’intérieur ou à l’extérieur de la société pour obtenir leurs propres intérêts, qui portent atteinte aux intérêts économiques légitimes de la société et des actionnaires par des moyens illégaux et illégaux tels que la tromperie. Il s’agit d’une fraude dans l’une des circonstances suivantes:

Demander ou accepter des pots – de – vin ou des pots – de – vin;

Transférer à lui – même ou à une autre personne, sans l’approbation de la société, les opérations qui peuvent normalement profiter à la société;

Utiliser illégalement les actifs de la société, détourner, détourner, voler ou détourner les actifs de la société;

Faire payer la société pour de fausses transactions;

Dissimulation délibérée ou fausse déclaration des transactions;

Falsifier ou modifier des documents comptables ou des pièces justificatives;

Divulguer les secrets commerciaux ou techniques de l’entreprise.

Article 7 la fraude à la recherche d’intérêts économiques inappropriés de la société fait référence à des actes inappropriés commis par des personnes à l’intérieur ou à l’extérieur de la société pour obtenir des intérêts économiques inappropriés de la société et qui peuvent eux – mêmes obtenir des intérêts pertinents, en utilisant des moyens illégaux et illégaux tels que la tromperie pour porter atteinte aux intérêts de l’État, d’autres organisations, des particuliers ou des actionnaires. Il s’agit d’une fraude dans l’une des circonstances suivantes:

La vente d’actifs inexistants ou irréels;

Dissimuler ou fausser délibérément les opérations, enregistrer de fausses opérations, y compris augmenter faussement les revenus et sous – estimer les passifs, et publier de faux rapports financiers, afin que les utilisateurs puissent prendre des décisions inappropriées en matière d’investissement et de financement en lisant les états financiers ou en les incompris;

Se livrer à des activités économiques illégales et illégales;

Falsifier ou modifier des documents comptables ou des pièces justificatives;

évasion fiscale.

Chapitre III Services et fonctions de gestion de la lutte contre la fraude

Article 8 la direction de la société est chargée d’établir, d’améliorer et de mettre en œuvre efficacement les procédures de lutte contre la fraude, y compris l’évaluation des risques de fraude et la prévention de la fraude, ainsi que les procédures d’auto – évaluation de la lutte contre la fraude.

Article 9 la société désigne le Comité d’audit comme l’organe permanent de gestion de la lutte contre la fraude de la société, qui est chargé d’organiser et d’exécuter la lutte contre la fraude dans tous les départements et à l’échelle de la société dans le cadre de la lutte contre la fraude de la société, et d’organiser et de mener des activités de publicité contre la fraude de la société; Accepter les rapports de fraude, enregistrer et traiter les rapports, organiser les enquêtes sur les cas de fraude et émettre des avis de traitement. Le Département de l’audit est l’unit é opérationnelle co – organisatrice de la lutte contre la fraude. Toutes les filiales contrôlantes et tous les services de la société sont responsables de la lutte contre la fraude de l’entreprise et de ses bureaux.

Article 10 le personnel du Comité d’audit, du Département de l’audit, du Département des finances et d’autres départements et bureaux compétents de la société sensibilise consciemment à la lutte contre la fraude, améliore le niveau de compétence technique nécessaire pour mener à bien les travaux de lutte contre la fraude, fait preuve de la diligence professionnelle voulue, exige activement et reçoit activement une formation sur les lois et règlements, les normes industrielles et les connaissances et compétences en matière de lutte contre la fraude des organismes administratifs compétents et des organismes de réglementation des valeurs mobilières concernés. Connaître activement l’état et le plan de développement des activités de production et d’exploitation de l’entreprise, les conventions comptables et d’autres règles et règlements pertinents.

Article 11 Étant donné que les organismes compétents extérieurs à la société, tels que les organismes de réglementation gouvernementaux compétents, les organismes de réglementation des valeurs mobilières et les organismes d’audit externe, peuvent également recevoir des rapports d’incidents de fraude de la part du personnel interne de la société, les départements et bureaux compétents de la société renforcent La communication et les échanges avec le Comité d’audit afin d’aider le Comité d’audit à mener à bien ses travaux de lutte contre la fraude.

Chapitre IV Prévention et contrôle de la fraude

Article 12 la prévention et le contrôle de la fraude par la direction de l’entreprise comprennent principalement: la promotion d’une culture d’entreprise honnête et propre et la création d’un environnement culturel d’entreprise favorable à la lutte contre la fraude; Évaluer le risque de fraude et mettre en place des procédures et des mécanismes de contrôle spécifiques pour réduire la probabilité de fraude; Mettre en place un organe permanent de lutte contre la fraude chargé de recevoir les rapports de fraude, d’enquêter, de faire rapport et de proposer des avis de traitement, et de superviser ces rapports.

Article 13 la promotion d’une culture d’entreprise de bonne foi, d’intégrité et d’intégrité comprend, sans s’y limiter, les moyens suivants:

La haute direction adhère à l’exemple et prend l’initiative de se conformer aux lois et règlements nationaux ainsi qu’aux règles et règlements internes de l’entreprise par des mesures pratiques;

Les politiques, procédures et mesures de lutte contre la fraude de l’entreprise doivent être efficacement communiquées ou formées sous diverses formes au sein de l’entreprise afin de s’assurer que les employés reçoivent une formation sur les lois, règlements et codes d’éthique professionnelle pertinents et qu’ils comprennent les concepts impliqués dans le Code de conduite; Aider les employés à distinguer les comportements légitimes des comportements illégaux, honnêtes et hypocrites. Tous les employés doivent connaître l’attitude sérieuse de l’entreprise à l’égard de la prévention de la fraude et leurs propres responsabilités en matière de lutte contre la fraude, et s’efforcer consciemment d’améliorer le niveau idéologique et les compétences en matière de lutte contre la fraude;

Former les nouveaux employés à la lutte contre la fraude, aux lois et règlements, à l’honnêteté et à l’éthique;

Encourager les employés à respecter les lois et les disciplines dans le travail quotidien et les communications de l’entreprise, encourager les comportements honnêtes et éthiques des employés, aider les employés à gérer correctement les conflits d’intérêts dans le travail et résister à la tentation d’intérêts inappropriés, et informer toutes les parties prenantes de la société qui ont des relations directes ou indirectes avec l’entreprise, telles que les clients, les fournisseurs, les organismes de réglementation et les actionnaires, sous une forme appropriée, de l’information de l’entreprise prônant le respect des lois et des disciplines et le respect de l’intégrité et de l’éthique;

Article 14 l’évaluation des risques de fraude et la mise en place d’un mécanisme de contrôle spécifique afin de réduire les possibilités de fraude sont effectuées principalement par les moyens suivants:

La direction inclut l’évaluation des risques de fraude dans l’évaluation annuelle des risques de l’entreprise.

La Direction procède à l’identification et à l’évaluation des risques de fraude au niveau de l’entreprise, du Département des affaires et des principaux comptes afin de déterminer la probabilité et l’impact des risques de fraude. Ces évaluations tiennent généralement compte de la question de savoir si le risque de fraude peut entraîner la publication de faux rapports financiers par la société, le détournement d’actifs de la société, les revenus ou les dépenses non autorisés d’actifs de la société et comprennent également une évaluation du risque de fraude des cadres supérieurs de la société ou des Administrateurs et superviseurs de la société; Concevoir et mettre en œuvre des mesures de contrôle interne pour réduire la probabilité de fraude. La direction établit et prend des mesures pour confirmer, prévenir et réduire les faux rapports financiers ou l’utilisation abusive des actifs et des biens de la société; Chaque niveau et chaque département de l’entreprise doivent mettre en place des mesures de lutte contre la fraude sous différentes formes, telles que l’approbation, l’autorisation, la vérification, la vérification, la répartition des responsabilités, l’examen du rendement au travail et la protection de la sécurité des actifs de l’entreprise. Mettre en place les contrôles internes nécessaires dans les domaines à haut risque où des fraudes peuvent se produire, tels que les rapports financiers frauduleux et les abus de pouvoir de la direction, ainsi que dans les domaines des systèmes d’information et de la technologie. Ces mesures comprennent l’élaboration d’un organigramme des processus opérationnels, l’élaboration de lignes directrices sur l’autorisation d’approbation et d’autres systèmes de gestion, la normalisation des documents, l’établissement de liens entre les risques de fraude commerciale et financière et les mesures de contrôle interne, afin d’établir un mécanisme de contrôle et de jouer un rôle à la source de la fraude.

Article 15 l’entreprise procède à une enquête sur les antécédents du personnel qui est prêt à être embauché ou promu à un poste important, comme les antécédents scolaires, l’expérience de travail et les dossiers de bonne foi. Le processus d’enquête sur les antécédents doit être documenté officiellement et bien documenté.

Article 16 la surveillance continue de la fraude par la direction est intégrée dans les activités quotidiennes de contrôle, y compris les activités quotidiennes de gestion et de surveillance.

Chapitre V Rapport, enquête et rapport sur les cas de fraude

Article 17 Le Comité d’audit est chargé d’établir des numéros de téléphone et des boîtes aux lettres électroniques pour le signalement des problèmes d’éthique professionnelle et des cas de fraude, et de publier les numéros et les adresses des boîtes aux lettres électroniques pour le signalement, le signalement et la divulgation des cas de fraude par toutes les parties, et d’établir des procédures de travail normalisées pour ce travail.

Article 18 le Comité d’audit, en fonction de ses priorités et en collaboration avec le personnel des services compétents de l’entreprise, évalue et décide s’il y a lieu d’enquêter sur les rapports suspects, présumés mais non confirmés impliquant des employés ordinaires. Si le rapport concerne la haute direction de la société, le Comité d’audit fait rapport au Conseil d’administration et traite le rapport conformément aux avis de recherche du Conseil d’administration. En ce qui concerne les dénonciations de noms réels, le Comité d’audit est tenu d’informer les dénonciateurs des résultats de l’enquête, qu’une enquête soit ouverte ou non.

Les dénonciateurs sont protégés lorsqu’ils participent aux enquêtes. L’entreprise interdit tout acte de discrimination ou de représailles ou toute mesure hostile à l’égard des employés qui participent à l’enquête. Les personnes qui divulguent des informations sur les dénonciateurs de plaintes en violation des lois ou qui prennent des mesures de représailles contre les dénonciateurs sont passibles d’une réduction de salaire, d’un licenciement ou d’une résiliation du contrat de travail. Si elles enfreignent la loi, elles sont transférées aux organes judiciaires pour traitement conformément à la loi.

Article 19 le Comité d’audit établit et archive en temps voulu les rapports et les documents relatifs aux cas de fraude signalés après enquête et traitement conformément aux dispositions relatives à l’archivage.

Toutes les personnes qui acceptent le rapport, l’enregistrement, l’approbation ou qui sont responsables de l’enquête et du traitement des cas de fraude doivent s’acquitter de leurs fonctions, garder le secret et se conformer aux dispositions suivantes:

Il est strictement interdit de divulguer le nom, l’unit é et l’adresse du dénonciateur;

Ne pas présenter au service ou à la personne faisant l’objet de l’enquête des documents relatifs aux renseignements personnels du dénonciateur, tels que des lettres de rapport;

Iii) Si l’affaire de fraude faisant l’objet de l’enquête a un intérêt dans les enquêteurs participants ou leurs proches parents, ils se retirent;

Le personnel chargé de recevoir les rapports ou de participer à l’enquête sur la fraude ne doit pas, sans autorisation, fournir à un ministère ou à une personne les renseignements pertinents et le contenu des rapports; S’il est nécessaire d’avoir accès aux documents pertinents, le Comité d’audit l’autorise. Les personnes qui consultent les documents doivent s’inscrire et garder confidentiels le contenu, l’heure et les renseignements pertinents des personnes qui consultent les documents.

Chapitre VI orientation et supervision de la lutte contre la fraude

Article 20 la direction de la société prend la lutte contre la fraude dans le cadre de la gestion quotidienne, soutient activement le travail quotidien de l’Organisation permanente de lutte contre la fraude et assure une protection adéquate du budget, de l’affectation du personnel et des conditions de travail.

Article 21 le Comité d’audit de la société tient une réunion d’information sur la lutte contre la fraude au moins une fois par an. En cas d’incidents de fraude impliquant les administrateurs, les membres du Conseil des autorités de surveillance, les cadres supérieurs de la société, les chefs de tous les départements et bureaux de la société et les cadres supérieurs des filiales contrôlantes, les incidents de fraude qui ont une grande incidence sur les activités normales de production et d’exploitation de la société, et les incidents de fraude, les situations importantes ou les problèmes majeurs qui ont une incidence sur la publication normale ou l’inexactitude des rapports financiers de la société, Il est proposé que le Conseil d’administration de la société se réunisse.

Article 22 le Département de l’audit est chargé de tenir compte des risques de fraude lors de l’élaboration et de l’exécution du plan d’audit annuel afin d’aider efficacement le Comité d’audit à mener à bien ses travaux de lutte contre la fraude. Le Service d’audit, en collaboration avec le Comité d’audit, joue le rôle d’orientation et de supervision nécessaire dans la lutte contre la fraude de l’entreprise. En fonction des besoins réels, le Ministère et le Comité de vérification peuvent communiquer les plans de travail et les résultats de leurs travaux respectifs.

Article 23 le Comité d’audit peut, avec l’autorisation du Conseil des autorités de surveillance, mener des enquêtes indépendantes ou conjointement avec les services opérationnels de la société sur les cas de fraude signalés; Il peut également être chargé par la direction d’enquêter sur des cas particuliers de fraude et d’évaluer spécifiquement les systèmes et procédures de lutte contre la fraude pour des cas particuliers. Les rapports d’enquête, les avis de traitement et les rapports d’évaluation établis par le Comité d’audit sont communiqués au Conseil d’administration ou au Conseil des autorités de surveillance conformément aux dispositions pertinentes.

Chapitre VII mesures correctives et sanctions en cas de fraude

Article 24 en cas de fraude, la société établit un rapport écrit sur l’évaluation et l’amélioration du contrôle interne dans le cadre des mesures correctives, prend les mesures appropriées à l’encontre des contrevenants et communique les résultats aux actionnaires internes et appropriés conformément aux dispositions.

Article 25 le Comité d’audit et le Service d’audit recommandent à la direction de l’entreprise d’imposer des sanctions disciplinaires économiques et administratives internes correspondantes conformément aux dispositions pertinentes à tous les employés coupables de fraude, qu’ils aient ou non atteint le niveau d’infraction pénale; Si l’acte viole la loi pénale, il est transféré à un organe judiciaire pour traitement conformément à la loi.

Chapitre VIII Dispositions complémentaires

Article 26 le système est rédigé et révisé par le Comité d’audit de la société et publié après délibération et approbation du Conseil d’administration et du Conseil des autorités de surveillance de la société.

Article 27 le Comité d’audit est chargé de l’interprétation de ce système.

Article 28 Le présent système entre en vigueur et est mis en oeuvre à la date de délibération et d’adoption par le Conseil d’administration.

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